La plupart des pathologies bégnines sont dues à la pollution urbaine et biologique des façades. Parmi elles, les efflorescences (visibles à l’œil nu sous forme de taches blanches) sont la résultante d’infiltrations, de remontées capillaires ou de problèmes de condensation.
Souvent, cela se traduit par une dégradation des joints de façade et un décollement des peintures et enduits. Pour éviter une aggravation de la situation, nous vous conseillons de faire appel à un expert dans le domaine.
Si certaines altérations sont anodines, d’autres peuvent en revanche cacher parfois une réalité beaucoup plus préoccupante. Par exemple, des fissures sur les murs extérieurs d’une maison peuvent être le signe d’un affaissement des sols. À cause d’épisodes de sécheresse à répétition, le sol se tasse, fragilise les fondations de la maison et endommage le bâti.
